Rencontre (pour ceux qui sont dans le château de Galby)

Aladria regarda froidement son père adoptif. Un sourire agacé sur les lèvres.

- Tu les as tous rejeté, dit furieusement le Roi.

Aladria ne répondit rien. Regardant toujours celui-ci dans les yeux avec une lueur de défi dans ceux-ci.

- Je dois à chaque fois les tuer! Tous! Des plus ignobles aux plus faibles!

- Et alors! dit-elle avec froideur. Que vous les tuiez ou non. Que cela change-t-il? Ils mourront tous un jour.

Le Roi ne répliqua rien. Aladria se balada entre les divers instruments de torture qui étaient entreposés sur les étagères, puis, après s'être coupé et lécher la goutte de sang qui avait perlé, elle rajouta en toisant Galbatorix d'un oeil dur, des éclairs y dansaient, mais sa voix était douce, tranchante comme un rasoir, menaçante:

- Vous devenez faible, Père. Trop faible...

Elle se balada encore quelques instants puis, sans que son père ne lui donne congé, elle se dirigea vers la sortie et ouvrant la porte, elle tomba nez à nez avec une personne qu'elle ne connaissait pas.

Hs : Je prend la place ^^

* Murtagh se rendait dans la salle de torture ou le roi l'avait fait mander ! Il était perdu dans ses pensés et ne réalisa pas que la porte s'était ouverte et qu'une jeune femme le regardait *

- Heu . . . bonjours !

'' - Murtag qui est avec toi ? demanda Thorn ''
- Je me nomme Murtagh ! Et vous Damoiselle ?
'' - Une fille ! Je ne sait pas qui ! Pourquoi ? ''
'' Prend garde ! Elle est étrange ! Je le sent d'ici ! ''
'' - D'accord ''

- Et puis-je savoir ce que vous faitess ici ? Si ce n'est pas trop indiscret bien sur !



HS : J'ai un dernier message avant que tu veuille partir ou autre ^^ alors fait le post en 2 fois stp

- J'était justement mander par votre "Père" !

* Murtagh rentra dans la piéce et avant de refermer la porte dérierre lui se retourna et dit a Aladria :
- Ha ett au faite ! * Aladria se retourna * Je vous voudrait vous dire que s'il je vous reprenait a épier une de mes conversations avec Thorn . . . même le fait d'être la fille du "Roi" ne vous sauverai pas de mon couroux !!! *Claque la porte au nez de Aladria *

La porte n'eut même pas le temps de claquerqu'elle se rouvra d'un coup et cogna de l'autre sens contre le mur, manquant de percuter Murtagh qui l'évita de jsutesse. Les yeux d'Aladria brillaient d'une oclère non feinte.

" Personne, pensa-t-elle, personne ne m'agrèsse de la sorte, personne n'a le droit de me parler de la sorte! "

Elle ne savait plus ce qu'elle faisait, ne se contrôlait plus. La colère qu'elle avait refoulé depuis trop de temps sortit alors. L'air se comprima pour ne plus que devenir vide. Juste une bulle d'air restait pour elle et son père. Elle voyait Murtagh suffoquer. Et un sourire vainqueur se peignit sur son visage. Mais son père arrêta la magie d'un coup, empoignant tout son esprit dans un étau de fer. Et une grimace de haine figea en un rictus mauvais le visage d'Aladria. Elle le haïssait! Murtagh tomba à terre, pantelant. Reprenant de l'air à pleine bouffé.

- La prochaine fois que tu me refais le coup, prévint-elle, je te tue.

* Murtagh reprit son souffle puis regarda Aladria dans les yeux. Il allait parler lorsque un rugissement retentit et tout d'un coup Thorn apparut dans la salle ! *
- La prochaine fois que tu essaye de le tuer tu auras affaire a moi ! Et je serait sans merci ! Comprit ?

* Aladria allait répliquer lorsque une voix lui coupa la parole *

- Essaye encore de tuer mon fiancé et je te désintégre ! Tu est prévenue !

* Mavia se trouvait dérriere elle *

Aladria souria. Un sourire narquois. Qui enjolivait son visage mais qui glaçait le sang.

- Mignon, dit-elle d'une voix mielleuse. Mais pathétique.

Ses yeux bleus flamboyèrent d'un air mauvais. Ils étaient dans son terrain et espérait la battre. Ils étaient fous. Il ne savait pas qui elle était. Et elle les connaissait. Elle se tourna vers la soi-disante Mavia et fiancée de Murtagh.

- Si tu penses pouvoir me vaincre, tu te trompes... Grande soeur, rajouta-t-elle.

Puis se tournant vers Thorn:

- Si tu ne veux pas mourir, ou plutôt, si tu ne veux pas que cette larve que tu appelle dragonnier meurt.

Elle regarda son père puis dit d'une voix enjoué:

- Cette conversation me lasse père, je vous laisse à vos affaires et m'en vais dans mes quartiers.

Elle fit une petite révérence à son père et sortit de la pièce dans un courant d'air froid.

- Quelle peste cette fille !

- Tu ne devrrais pas l'insulterr ainsi!!

La voix du roi s'était élevée dans l'air. Tranchante comme unn rasoir, froide comme la glace.

- Enfin, surtout devant moi...